La liste #GiletsJaunes annoncée aux européennes provient de la réunion organisée à Marseille par Bernard Tapie dans les locaux de @laprovence (voir cet article par exemple). ➡️ Vive l’anti-système dans le système au profit du système !🥳 https://t.co/yWHGJg93bH
Une liste Gilets jaunes pour les Européennes ? "C'est une combine de Bernard Tapie et d'Emmanuel Macron, c'est une évidence", estime Éric Zemmour pic.twitter.com/6OnPhTQUrV
Les Attali, Minc, Bergé, Kouchner, ou encore Tapie ou Cohn-Bendit qui soutiennent Macron aujourd’hui incarnent un petit morceau de la vraie croix d’une gauche qui a imposé ses valeurs depuis quarante ans.
Ils l’aiment. C’est beau comme ils l’aiment. Ils lui déclarent leur flamme, le trouvent beau, jeune, intelligent, moderne, humaniste. Et plus encore. Leurs patronymes incarnent les années Mitterrand, mais la plupart ont été très proches de Sarkozy aussi.
Ministre de François Mitterrand, chef du parti radical de gauche en compagnie de Noel Mamere et de Christiane Taubira, client et complice de l’avocat d’affaire jean Louis Borloo, ami et soutien de Nicolas Sarkozy, Bernard Tapie est l’incarnation parfaite de l’UMPS.
Mis en examen pour escroquerie en bande organisée après un compromis fumeux au dessus duquel planent les ombres de Nicolas Sarkozy, Christine Lagarde, Claude Guéant, et Jean-Louis Borloo, Bernard Tapie doit ses tracasseries judiciaires à la vigilance de Marine Le Pen. Dés 2008, la vice-présidente du FN suspecte une malversation dans l’arbitrage rendu sur son litige avec le Crédit Lyonnais. Elle sollicite alors l’intervention de la cour des comptes dirigée à l’époque par Philippe Seguin.
En vrai républicain, et soucieux du bon fonctionnement de la démocratie, Seguin lui répond qu’il examinera le dossier, et exprimera son appréciation.
Entre les magouilleurs de la fédération PS du Nord, ceux de PACA comme Guérini et Andrieux, ou encore Bernard Tapie, le FN a entrepris de faire le ménage dans la Ripoux-blique… et on ne peut que s’en féliciter.
Article du journal Challenge de 2008 qui indique la démarche entreprise par Marine Le Pen envers Philippe Seguin
La reprise par Bernard Tapie des quotidiens du groupe Hersant dans le sud de la France est vue avec suspicion par la classe politique, qui a peine à croire qu’il ne s’en servira pas comme d’un tremplin pour la mairie de Marseille. Un air de déjà vu !