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« C’est la rue qui a abattu les nazis » : les propos de Mélenchon ne passent pas
Il s’enfonce dans la dinguerie ce type…! il ressemble de plus en plus à un leader stalinien. Quand mélenchon déclare que la rue c’est la démocratie, il devrait penser à appliquer ce principe au Venezuela…
Jean-Luc Mélenchon ne peut pas rivaliser avec moi en terme d’organisation de manifs. #JaiBastille pic.twitter.com/iElL9vvLrY
— Kim-Jong-Un 🐸 (@KimJongUnique) 23 septembre 2017
Curieux : #Melenchon ne cite pas le communisme parmi ceux que la rue a renversés… https://t.co/sqTc4pGAeR
— J-Christophe Buisson (@jchribuisson) 23 septembre 2017
Par contre au Venezuela les nazis sont dans la rue #Logiqueméluche https://t.co/UsPL2bsvOG
— Eugénie Bastié (@EugenieBastie) 23 septembre 2017
Il faut être totalement Insoumis à la réalité historique pour mettre @alainjuppe et les nazis dans la même phrase. Sacré Jean-Luc! https://t.co/uEzANro7AM
— jean-michel aphatie (@jmaphatie) 23 septembre 2017
https://t.co/aqGnmh5InN Super démagogue en action. La rue qui a abattu les Rois ou la Convention nationale ? pic.twitter.com/V3kUMWhPNP
— Gabriel Robin (@gabirobfrance) 23 septembre 2017
La manif qui a permis de nous débarrasser des nazis #Melenchon #JaiBastille #Nazi pic.twitter.com/NzWU8xQ4PW
— Jerome Desenfants (@JeromeDesenfant) 24 septembre 2017
Lors de son discours prononcé sur la place de la République ce samedi, Jean-Luc Mélenchon a multiplié les avertissements à Emmanuel Macron, lui lançant notamment: « c’est la rue qui a abattu les nazis« . Des propos jugés « indignes » par plusieurs ministres. Sur les réseaux sociaux aussi, ça se déchaîne.
Profitons-en pour rappeler à #Mélenchon que le #PCF, allié à #Hitler, pratiquait les sabotages contre notre armée. https://t.co/Jo3SCMXG1r
— Vincent Goyet ن (@vgoyet) 24 septembre 2017
I-Média#163 Charlottesville : les médias voient des nazis partout.
Éric Zemmour : « Trop d’Histoire tue l’Histoire »
À suivre la campagne présidentielle ces derniers jours, on se croirait dans une bande d’actualités de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ne manquent que les images en noir et blanc », constate Éric Zemmour, qui note que « la classe politique française toute entière joue à plus gaulliste que moi tu meurs ! ». Il constate qu’Emmanuel Macron « use et abuse des références à la guerre et au nazisme, comme s’il voulait rejouer contre son adversaire du second tour un imaginaire historique qui avait si bien fonctionné pour marginaliser son père »
Pour le journaliste, « Marine Le Pen en est elle même effrayée puisqu’elle se sent obligée d’aller elle aussi se recueillir devant le mémorial de l’extermination des juifs ». Avant d’insister : « Pourtant, l’instrumentalisation du malheur juif ne marche pas. Elle scandalise davantage qu’elle ne mobilise. Elle apparait pour ce qu’elle est : un truc de campagne électorale ». Aux yeux d’Éric Zemmour, « trop d’Histoire tue l’Histoire ».
@GaspardAlizan @MrJumper02 @xavierbertrand Puisqu'on va dans ce type de comparaison pic.twitter.com/bJAHeHBYI7
— Charlie ⛪️ 🐇🐰 (@FreyjaCharlie) 2 mai 2017
Podcast:
Compte twitter de Bercy piraté: Armoiries ottomanes et message pro-Erdogan traitant l’Allemagne et la Hollande de « nazis »
Chantal Jouanno (UDI) compare le FN « aux nazis » en 1933
Invitée de Territoires d’Infos sur Public Sénat et Sud Radio, la sénatrice UDI Chantal Jouanno, candidate en Ile-de-France aux côtés de Valérie Pécresse a mis en garde contre une possible victoire du FN dans une région lors du second tour des régionales dimanche. Elle compare le FN aux nazis.
« Certains disent ‘après tout, ils verront bien qu’ils sont incapables de gérer des régions, qu’ils sont incapables de prendre de bonnes décisions’. Je veux juste rappeler qu’en 1933 on disait ça. En 1933 on disait ‘les nazis, c’est pas grave, vous verrez, ils ne vont pas rester longtemps et ils vont échouer’. Et ça a mené à la Deuxième guerre mondiale. Franchement, je n’ai pas du tout envie d’essayer» affirme la numéro 2 de la liste LR-UDI-MoDem dans les Hauts-de-Seine pour les régionales en Ile-de-France
« Je ne considère pas que le FN soit un parti républicain. J’ai toujours prôné le front républicain contre ce parti, contre ses élus. Et oui, en l’occurrence, le front républicain, chez nous ça a un sens» ajoute Chantal Jouanno, alors que le parti Les Républicains se sont opposés à tout front républicain.
Le père du ministre François Rebsamen était-il collabo ou résistant ?
À une ou deux reprises la presse a timidement évoqué le passé dans la collaboration du père de François Rebsamen. Mais comme celui-ci a toujours démenti et a prétendu que son père était un résistant, la presse a sans doute estimé qu’il était inutile d’enquêter. Soyons certain qui François Rebsamen avait été au FN il en aurait été autrement. Or aujourd’hui le site Enquête et Débats semble apporter la preuve que le ministre a menti, son père a bien été collabo.
Soyons clair : nous ne sommes pas socialistes, nous n’aimons donc pas les chasses aux sorcières. François Rebsamen n’est en rien responsable des idées qu’aurait pu avoir son père. Il n’y a donc de notre part aucun jugement moral. Mais il faut avouer que l’on rit d’ironie quand on voit la gauche donneuse de leçon et accusatrice se faire éclabousser par son passé nauséabond nous rappelant les heures les plus sombres de notre histoire, hoouuuu….
Notons aussi que le mensonge est devenu monnaie courante au sein de ce gouvernement. On a eu Cahuzac, Moscovici et Hollande sur le compte en Suisse du premier, Taubira et Valls sur les écoutes de Nicolas Sarkozy (Valls a d’ailleurs lui aussi menti sur le passé de son père en prétendant qu’il avait été anti-franquiste, ce qui est totalement faux) , Vallaud-Belkacem et Peillon sur la théorie du genre à l’école…. ça commence à faire beaucoup.
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Article de Nouvelles de France via Enquête & Débat via
En avril 2001, François Rebsamen vient d’être fraîchement élu maire de Dijon. Il accorde une interview à L’Express, interview toujours en ligne dont voici un extrait :
“Votre père a-t-il été collaborateur?
Non. C’est une rumeur que fait courir la droite à Dijon depuis que j’y suis candidat. Il se trouve que la famille de mon père est originaire d’Alsace, de la région de Mulhouse-Bâle, précisément. Pendant la Seconde Guerre mondiale, mon père, pour ne pas être enrôlé dans l’armée allemande, a choisi de prendre la nationalité suisse. C’est tout.”
François Rebsamen déclare donc que son père a fui en Suisse pour ne pas être incorporé dans la Wehrmacht en tant qu’Alsacien. Or, selon le site Enquête et Débat, c’est tout le contraire : il s’est enfui en Suisse à la suite d’un avis de recherche pour collaboration.
Le premier à avoir vendu la mèche est un certain Yves Bertrand, le fameux directeur des Renseignements généraux de 1992 à 2004, qui notait dans des carnets qui ont été révélés par la presse : « Père Rebsamen serait un ex-agent de la Gestapo d’origine russe. Un Rebsamen russe s’installe à Dijon en 39 – photo de lui en uniforme d’officier Gestapo. Ça se passe à Dijon. S’est marié avec la fille d’un maire adjoint de Dijon qui est intervenu pour qu’il ne soit pas jugé trop sévèrement. Rebsamen né à Dijon en 1951. Sa mère = la fille d’un ex-adjoint de Dijon. Père = Erich Rebsamen. »
Le second est Jean Robin qui publie un extrait du journal La Bourgogne républicaine (ancêtre du Bien public), daté du 9 août 1945 :
Un journaliste de Libé sur Philippot : « costume noir, chemise blanche et cravate rouge : les couleurs nazies? »
Philippot en costume noir, chemise blanche et cravate rouge vif, y a que moi qui y voit les couleurs nazies? #DPDA
Philippot en costume noir, chemise blanche et cravate rouge vif, y a que moi qui y voit les couleurs nazies? #DPDA
— Lilian Alemagna (@lilianalemagna) 6 Février 2014
Avec des journalistes aussi nuls, il n’est pas étonnant que plus personne n’achète le journal des bobos et des adolescents attardés.
Les ventes du quotidien de gauche, qui fête ses 40 ans et compte actuellement 290 salariés, ont chuté de plus de 15% sur les 11 premiers mois de 2013 et sont tombées en novembre sous les 100 000 exemplaires, à 97 299, le pire score depuis au moins 15 ans. Grevé de 6 millions d’euros de dettes, il devrait perdre 1 à 1,5 million en 2013 et ne dispose que de quelques mois de trésorerie.
Mais les rebelles subventionnés pourront toujours compter sur leurs amis au pouvoir :
En 2013 Libé a reçu 10 millions d’euros de subventions, soit un tiers de son prix de vente !
« Congrès du parti national socialiste » : le lapsus de la vice-présidente de la région Bourgogne
Le national socialisme ayant été un mouvement de gauche, on ne peut pas dire que le lapsus de la débutante soit infondé !
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Nisrine Zaïbi est militante du Parti socialiste et vice-présidente de la région Bourgogne, comme elle s’est elle même présentée en arrivant à la tribune du congrès de Toulouse. Pas une habituée des grandes tribunes et des médias donc.
Quelques minutes après le début de son intervention, elle a commit un malheureux lapsus, se déclarant « fière d’intervenir au congrès du parti national socialiste ». « Parti national socialiste », c’était l’appellation du parti nazi d’Adolf Hitler dans l’Allemagne des années 30 et 40.
Dans la suite de son propos, Nisrine Zaïbi a raconté son combat contre l’extrême droite et combien elle a « pleuré en voyant arriver Jean-Marie Le Pen en finale en 2002″.
Dans la foulée, l’élue socialiste commet un second lapsus évoquant « notre président de la République, François Patriat », plutôt que François Hollande. Une question d’habitude, sans doute, François Patriat étant le président de la région Bourgogne où elle siège.
Fin d’intervention dans la confusion puisque la militante socialiste a été coupée avant la fin de son propos par l’arrivée en musique du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault.