Des immigrationistes qui pleurent sur les conséquences de leur idéologie sans même avoir le courage de nommer la racine du mal: l’immigration et l’islamisation. Cette tribune c’est MC DO qui s’indigne de la progression de l’obésité.
Un gros foutage de gueule
Val, BHL, Delanoë… ont crée les conditions de cet #antisémitisme. Hier ils étaient aux avant-postes pour nous traiter de racistes quand on osait dire un dixième de ce qu'ils proposent aujourd'hui. On ne règle pas un problème avec ceux qui l'ont crée. Et en + ils votent.. Macron
— jérôme Cortier (@JrmCortier) 22 avril 2018
Il est plus humaniste et réaliste aux yeux de certains de réclamer la modification d'un texte vieux de 1200 ans, sacré pour 1,8 milliards d'humains plutôt que remettre en place des postes frontières… Il y a vraiment une part de dinguerie dans le nouvel intellectualisme français
— Pierre Sautarel (@FrDesouche) 22 avril 2018
Plus de 250 personnalités dénoncent «une épuration ethnique à bas bruit» dans un manifeste qui s’attaque à l’antisémitisme en France. Parmi les signataires, des intellectuels, des artistes, un ancien président et trois ex-Premiers ministres.
«Nous demandons que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard, avant que la France ne soit plus la France», peut-on lire dans un texte signé par des personnalités politiques de droite comme de gauche (de l’ancien président Nicolas Sarkozy aux ex-Premiers ministres Manuel Valls, Jean-Pierre Raffarin ou Bernard Cazeneuve), des artistes (Charles Aznavour, Françoise Hardy, Renaud), des responsables religieux (l’imam Hassen Chalghoumi), des intellectuels (Alain Finkielkraut) et des personnalités (Gérard Depardieu). Ce manifeste «contre le nouvel antisémitisme» est publié dans Le Parisien du 22 avril, soutenu par plus de 250 personnalités.
«Dans notre histoire récente, onze juifs viennent d’être assassinés – et certains torturés – parce que juifs par des islamistes radicaux», écrivent-ils, en référence à l’assassinat d’Ilan Halimi en 2006, à la tuerie dans une école juive de Toulouse en 2012, à l’attaque de l’Hyper Cacher en 2015, à la mort par défenestration à Paris de Sarah Halimi en 2017 et, récemment, au meurtre d’une octogénaire dans la capitale, Mireille Knoll.
«Les Français juifs ont 25 fois plus de risques d’être agressés que leurs concitoyens musulmans», lit-on également dans ce manifeste. «Dix pour cent des citoyens juifs d’Ile de France – c’est-à-dire environ 50 000 personnes – ont récemment été contraints de déménager parce qu’ils n’étaient plus en sécurité dans certaines cités et parce que leurs enfants ne pouvaient plus fréquenter l’école de la République», ajoute l’écrit qui dénonce : «Il s’agit d’une épuration ethnique à bas bruit au pays d’Emile Zola et de Clemenceau.»
En outre, les signataires demandent «que les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés de caducité par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémitisme catholique aboli par [le concile] Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime».
«Nous attendons de l’islam de France qu’il ouvre la voie», souhaitent-ils par ailleurs en conclusion.