Bah alors, tu viens plus aux soirées? pic.twitter.com/mu9QH49tRR
— Gabriel Robin (@gabirobfrance) 22 juin 2018
Les Bacchanales de l’#Elysée pic.twitter.com/HDQUpYRnob
— Rowlf (@Rowlfg) 21 juin 2018
Ces marches ont vu passer De Gaulle, Kennedy, Trump ou encore Poutine. Et puis il y a eu ça… pic.twitter.com/2rm9Cj5bXR
— Jordan Bardella (@J_Bardella) 22 juin 2018
Pendant les concerts au Palais de l'Elysée, même les paroles étaient scandaleuses et obscènes.
Emmanuel Macron aura déjà fait pire que François Hollande !pic.twitter.com/IlNqAbL2eR
— Guill. de Longeville (@gdelongeville) 22 juin 2018
Pour la première fois dans l’histoire de l’Elysée, Emmanuel Macron a ouvert au grand public le palais présidentiel pour la fête de la musique en accueillant des artistes branchés de la scène électro française.
Les assoiffés pouvaient acheter à la buvette éphémère une bière sans alcool (3 euros) servie dans un gobelet recyclable siglé « Elysée, Fête de la musique ».
Brigitte Macron est passée brièvement en début de soirée le long de la cour, photographiée par des centaines de smartphones, le président était attendu vers 22h30 au milieu de la foule, pour une de ces rencontres avec le public qu’il apprécie.
La crise migratoire qui secoue l’Europe et la défense des minorités se sont glissés dans la fête. Kiddy Smile, comme annoncé sur sa page Facebook, arborait un T-shirt militant où était écrit « Fils d’immigré, noir et pédé », contre la loi Asile immigration. Il avait annoncé que ses chansons porteraient le même message « sans que personne ne puisse les étouffer ».
L’artiste, qui s’est fait critiquer sur les réseaux pour avoir accepté de venir, a justifié sa présence en expliquant qu’il s’opposait à la « répression des migrants » et en annonçant que son cachet de 1.500 euros serait reversé à une association.
« Hourra! Hourra! Enfin la musique techno entre à l’Élysée » s’est réjoui Jack Lang.
Le DJ, jouant sur le perron éclairé aux couleurs du « rainbow flag »